Tout récit fait d'une inconnue son épine dorsale : le meurtrier du récit policier, le gâchis ou le vertige du récit amoureux, le victorieux du récit guerrier. Imaginons une inconnue amorphe, plastique, changeante, une inconnue qui ne soit pas seulement l'ossature ni l'objet d'un récit, mais son virus, sa méiose ou son clinamen. Traversant les discours, les classes sociales, les milieux - en un mot... Lire la suite
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