“Condamné à mort !… Voilà cinq semaines que j’habite avec cette pensée. Toujours seul avec elle… Toujours glacé par sa présence…Elle m’obsède éveillé, épie mon sommeil… Et reparaît dans mes rêves… Je viens de m’éveiller en sursaut… en me disant ‘ce n’est pas en rêve’… Eh bien avant même d’avoir entr’ouvert les yeux pour vérifier que ce n’en était pas un, je l’ai entendue : condamné à mort !”
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