Avec cette œuvre superbe parée de couleurs folles, hors du spectre de la décence bourgeoise, nous retrouvons tout l’univers de Filippo Scòzzari, avec une langue incisive et riche, souvent comparée à la prose de Tommaso Landolfi pour le plaisir et la liberté d’invention et pour la maîtrise sadique à souligner la syntaxe jusqu’à ce qu’elle en devienne incandescente et fumante. Tout cela et... Lire la suite
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