Avec Faut faire le million, quatrième volet de son implacable autofiction Gilles Rochier rentre dans le dur. Dur comme l'époque qui nous transperce, agitée de précarité et de violence... « On n'a plus les bras ni les jambes, ni même l'esprit pour imaginer du meilleur à venir, chaque question devient un angoisse. À force d'avoir la misère comme décor, ça déborde. On ne voit plus au delà, avec la trouille... Lire la suite
BDGest 2014 - Tous droits réservés