On ne présente plus Victor Frankenstein, ni sa créature monstrueuse. Il importe alors de s'attacher au traitement, à l'adaptation possible d'une histoire si connue. Ici, tout se joue à demi-mot, dans des cris jamais complètement poussés, des malédictions pas entièrement prononcées, des pleurs étouffés, des soupirs. De même, les silhouettes se distinguent à peine dans le brouillard ou les ténèbres–... Lire la suite
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