De Pravda la Survireuse (1967) à Rock Dreams (1973), on connaît le goût de Guy Peellaert pour l’hybride et le mélange des genres. Moins célèbres, ces quatre œuvres expérimentales parues en feuilleton dans Hara-Kiri marquèrent néanmoins l’après-Mai 68 par leur humour noir, leurs couleurs acides et un furieux alliage de dessin et de photomontage, autant influencé par le dadaïsme que par le psychédélisme... Lire la suite
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