« La Mission Infernale » se lit comme on regarde un bon vieux film de guerre américain des années cinquante. Une galerie de personnages dignes du panel des consommateurs de pop’corn du New Jersey, des rebondissements énormes qui se devinent une heure avant (au moins !), des clins d’œil de… 12 tonnes et des répliques qui rendraient John Wayne, béret vert de jalousie…C’est lourd, très lourd, mais pachyderme... Lire la suite
BDGest 2014 - Tous droits réservés