La petite Ulrica incarne cette enfance perdue dans le roman graphique de Jérémie Horviller. Les raisons de sa présence à l'orphelinat font peu à peu surface, au fil d'un récit sombre dont les temporalités s'enchâssent. Le récit est peuplé de références, (De Van Gogh à Diane Arbus, d'Hokuzai à Otto Dix, en passant par Andersen) de figures et de lieux archétypaux. Nous pénétrons la dérive hallucinée... Lire la suite
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