Qui, en voyant les comics sentimentaux des années 1950-1960, ne serait pas tenté de jouer un mauvais tour à ces jeunes gens lisses et bien coiffés ? Gabriela Manzoni est passée maître dans l’art du doublage malveillant : chaque case de bande dessinée est un plan qu’elle s’amuse, tel un réalisateur lucide et désenchanté, à « re-tourner » en remplaçant les textes mièvres et bien-pensants par des reparties... Lire la suite
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