De l’Égypte où il est né au Liban où il a émigré dans les années 60, avant de débarquer à Paris en 70, Carali raconte, dessine, s’énerve, se marre… Rien à voir avec une autobiographie gonflante et prétentieuse, ici tout est décalé, subtil. Dans Odeur de brûlé, Carali a regroupé 40 planches parues dans Siné Mensuel et quelques éditos parus dans Psikopat.
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