Solé se regarde dans son miroir. II bouffe son crayon, s'arrache les cheveux, baille, s'énerve et ne voit rien venir d'autre que ce qu'on appelle en langage médical "l'angoisse de la page blanche". La pose n'a rien de romantique parce que la vie du "dessineux" au fond de sa tanière est plate, rebattue, routinière, triviale et grisâtre. Avec une chaussette qui traîne sous le lit et le papier peint... Lire la suite
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