Son titre complet résume à lui seul une bonne part de ce récit fleuve et débridé (près de 500 gravures) dessiné pendant la guerre de Crimée qui opposa la Russie à l’empire ottoman et ses alliés, dont la France de Napoléon III. C’est donc animé d’un élan patriote que le jeune Doré, alors âgé de 22 ans, se lance dans cette histoire iconoclaste, volontiers outrancière et farouchement parodique.
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