Dès la première page, on est frappé par la force du style de Nina Bunjevac : un noir et blanc expressif, réminiscences mêlées de l'expressionnisme d'un Robert Crumb et du pointillisme méticuleux d'un Drew Friedman. Peu de cases et beaucoup d'encre, d'où se dégage une atmosphère à nulle autre pareille. Les cinq contes qui constituent heartless sont noirs, cruels même, comme le revendique le titre,... Lire la suite
BDGest 2014 - Tous droits réservés