Les merveilleux contes de Grimm 3. Le conte du genévrier

I l était une fois dans des montagnes reculées, non loin d’un immense genévrier, une jeune femme éplorée. Priant, suppliant, implorant, elle n’arrivait pas avoir d’enfant... jusqu’à ce fameux matin d’hiver où elle s’entailla le doigt. Désespérée, elle fit alors un vœu ; le vœu d’avoir un enfant blanc comme la neige et vermeil comme son sang.