Un pape dans l'histoire Saint Pierre - Léon le Grand

D ouble preview pour cette nouvelle collection historique Glénat

Saint Pierre - Une menace pour l'empire romain

Mourir pour ses convictionsRome, 64 après Jésus Christ. Un incendie ravage la cité antique. Et tandis que les flammes se reflètent dans ses prunelles, Néron, l'empereur sanguinaire, sur les hauteurs de son palais, joue de la harpe. Si la légende tragique n'a jamais été véridiquement accréditée, on sait avec certitude en revanche qu'il utilisa ce drame pour lancer une véritable chasse aux Chrétiens. Des centaines d'entre eux sont arrêtés, torturés, massacrés. Parmi les suppliciés, le plus célèbre des apôtres du Christ. Celui qui deviendra le symbole de l'Eglise et que Jésus avait désigné comme le Roc sur lequel il la bâtirait : Pierre.Cette histoire est celle de son agonie dans le cirque de Néron. Ces heures douloureuses qui précèdent sa mort et durant lesquelles il se remémore cette vie incroyable au côté de ce Messie qu'il a tant aimé malgré le doute qui le rongeait en permanence et l'a poussé à le renier par trois fois. Saint Pierre et Néron : deux figures à jamais associée dans le tumulte de ce premier siècle de l'ère chrétienne.

Léon le grand - Défier Attila

Le dernier rempart face aux invasions barbaresAu Ve siècle de notre ère, le pape Léon le Grand, qui règne fermement sur son troupeau alors que l'Empire romain se désagrège et s'effondre, est une figure centrale de la papauté. Imposant la tradition avec force et détermination, il contribue à structurer l'Église et impose le choix de Rome comme siège incontestable du Christianisme. Ses sermons, ses lettres, sont toujours aujourd'hui consultés et restent une référence. À ce titre, Léon est l'un des pères de l'Église. Mais plus encore, lorsque le peuple de Rome se retrouve désarmé devant l'avancée barbare, alors que l'Empereur est incompétent ou même a pris la fuite, Léon ira affronter tant Attila et sa horde de huns, que Genséric, le terrible chef vandale... L'empire s'effondrant, le pape reste le seul pouvoir auprès duquel les romains, terrifiés, cherchent refuge.