Olivier Boscovitch a sept ans quand ses cousines ados l’initient aux Eagles, à Supertramp, Boney M et aux Rolling Stones. Un an plus tard, c’est une chanson de ces Sataniques Majestés qui va lui filer le virus du binaire : balade tirée de l’album ‘‘Black and Blue’’, ‘‘Fool to Cry’’, avec les miaulements de Jagger sur les accords chaloupés du Fender Rhodes, marque le gamin. Plus tard, élève en rupture,... Lire la suite
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