Née en France, cette franco-libanaise propose au journaliste qui l’interroge de l’appeler Mariam et préfère conserver l’anonymat. C’est une “véritable passionnée de peinture et de théâtre (elle dessine depuis toujours et a fait trois ans au cours Florent)”, qui travaille le format numérique, avec une tablette, nous renseigne le quotidien. Reviennent régulièrement dans ses planches la question de l’identité... Lire la suite
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