Antoine Bernhart peint des scènes de crimes sexuels transposés dans un théâtre de la cruauté. S’y actent des visions obscènes et sadiques. Métamorphosées en corps machines, les victimes comme les bourreaux s’y définissent comme les principes dynamiques d’expérimentations masturbatoires. Texte © Françoise Fauché-Gros
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Pas de soirée pour Ygyou
Skull skool, royal !
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