Info édition : Format 230 x 305 mm. D. 1994/0053/316 N°2860 Avec la participation de : René Pétillon, Jean-Claude Mézières, Florence Cestac, François Boucq, Jean Solé, Marcel Gotlib, Jean-Marc Rochette, F'murr, Philippe Vuillemin, Keleck, Garrigue, Didier Comès, Enki Bilal, Choupôt, Fred, Jean-Michel Nicollet, Philippe Druillet, Oscar & Rachel Tardi.
Résumé: Ayant enfin été retrouvée par le Professeur Dieuleveult, Adèle va devoir lutter pour échapper à ce sinistre individu qui ne souhaite qu'une chose : sa mort.
9 ans plus tard, Tardi offre une suite au prometteur noyé à deux têtes. Hélas, la qualité n'est plus au rendez-vous. L'histoire se perd dans les innombrables personnages secondaires et oublie de se concentrer sur l'essentiel. L'hommage des autres dessinateurs n'apporte rien, voire dénote carrément. Dommage...
Saint -Jean
Le 22/11/2015 à 13:27:09
C'est un album un peu parodique que nous propose ici Jacques Tardi. Le scénario arbore un humour qu'on a pas l'habitude de voir dans la série. Il paraît que les monstres ont été dessinés par d'autres dessinateurs, amis de Jacques Tardi.
minot
Le 26/03/2015 à 20:24:42
Un épisode plutôt décevant. Le début de l’album est assez cocasse, avec ces incessants chassés-croisés entre ADELE BLANC-SEC, ses amis et ses adversaires, personne n’arrivant à mettre la main sur quiconque. Mais très vite l’accumulation excessive de nombreux personnages secondaires devient passablement lourd et le scénario devient rapidement brouillon. Quant à la participation en « guest-stars » de nombreux grands noms de la BD, elle n’amène en fait rien d’intéressant à l’album. Bref, rien de très exaltant.
Benvoila
Le 05/02/2011 à 15:33:04
Si les épisodes précédents démontraient un minimum de "sérieux" de la part de l'auteur, hormis quelques saillies humoristiques, les intervenants menaient leur vie de héros bien à eux. Toute distance oubliée, Tardi convoque ici chacun de ses protagonistes pour en faire son porte-parole : les dialogues atteignent alors un degré d'acidité inédit et l'aventure vire rapidement au surréalisme hilarant.
Pour compléter cet incongru festival, une brochette de grands noms de la bédé vient jouer les vedettes américaines.
Un peu déroutant pour les habitués de la série, cet album constitue un tournant, pour la première fois Tardi a revêtu le costume d'Adèle : tous des monstres !