Ce troisième tome termine un premier cycle de manière magistrale avec un graphisme qui, je trouve, s’est encore amélioré. L’histoire prend un tour particulier avec un colonel Valois de plus en plus méprisant et méprisable. Il va réussir à prendre de force la fameuse croix de Cazenac à Étienne mais échouera dans son plan diabolique. Quant à Étienne il navigue entre vengeance et folie avec cette violence qui semble aussi caractériser son frère Henri. Album vraiment très bon pour clore cette première partie de la « Croix de Cazenac ».
chtiman
Le 29/02/2008 à 09:39:33
aussi bon que le premier tome, meilleur que le second je trouve... L'histoire, tout en étant mystérieuse n'en est pas pour autant trop complexe, on ne se perd pas dans les petits détails qui peuvent parfois embrouiller un scénario. L'action est là en permanence, les dessins et couleurs très agréable ne gâchent rien.
nic123
Le 19/11/2007 à 21:15:04
Ce tome conclut le premier cycle. Le meilleur album des trois, ou le caractère des personnages est bien dépeint et le scénario est bien mené. L'histoire nous mène jusqu'au confins de la Russie, et est soutenu par de beaux dessins.
Da Rocha
Le 23/08/2006 à 20:11:55
"Le Sang de mon Père" conclut le premier cycle de cette série dédiée aux aventures de la famille Cazenac.
Comme annoncé par le précédent tome, l'action se déplace en Russie à l'aube d'une révolution qui mettra fin au régime tzariste. Peu à peu, les diverses pistes lancées par Pierre Boisserie au cours de "L'Ange endormi" trouveront leurs éléments de réponse. Ainsi, l’espionnage de guerre cède la place à une machination ourdie depuis plus d'une vingtaine d'années par un officier français dont Victorien Cazenac était le mentor ! Les ressorts en sont tout ce qu'il y a de plus classique : la jalousie, l'envie et la cupidité. Une nouvelle fois l'ensemble du récit se tient à merveille pour notre plus grand plaisir. Le seul bémol réside en cette histoire de chamanisme qui nous laisse un peu sur notre faim et vient selon moi gâter légèrement la conclusion de l'album.
Le trait d'Eric Stalner reste d'un niveau constant et l'auteur nous livre une nouvelle fois un travail bien maîtrisé.
En résumé, un tome légèrement en retrait par rapport aux deux précédents mais dont je vous conseille la lecture afin d'apprécier jusqu'au bout ce cycle de l'ours.