L
es membres de l’expédition sont dans de sales draps. Ils ont été capturés par les hommes-singes qui ont visiblement des intentions belliqueuses. Mais le professeur Challenger, jamais à court d’idées, a bien l’intention de les délivrer rapidement.
Ce second tome clôture de belle manière l’adaptation du roman de Conan Doyle. Le dessin est dans la continuité du précédent, on peut donc lui reprocher les mêmes défauts mais aussi en apprécier certains aspects. On retrouve quelques pages panoramiques fort réussies, qui ne font que relever l’intérêt que le lecteur porte à l’histoire. De même, la première page sous forme de une du Daily Star, procédé classique mais efficace, en évitant un résumé fastidieux, nous replonge rapidement dans l’intrigue.
Les auteurs ont donc réussi une adaptation correcte et relevé leur défi : nous tenir en haleine jusqu’à la surprise des dernières pages !
>> Le monde perdu de Maple White, chronique du tome 1