Toujours avec les pandores aux fesses, Tonin fuit à travers la campagne et finit par s'engager avec d'autres pour construire "le chemin de fer".
Admirable plongée dans cette France toujours paysanne mais qui voit s'élever à côté d'elle une France "moderne". Moriquand en profite pour montrer ce que pouvait être les conditions de vie de ces itinérants et le "danger des idées sociales". C'est formidable et je ne comprends toujours pas pourquoi cette saga n'a pas eu un succès similaire aux "Maîtres de l'Orge" (remarquables, eux aussi).