Info édition : Mention tirage limité. Impression à 1150 ex. - Mise en vente à 999 ex. (sur le 4e de couverture, une erreur - Tirage limité à 599 exemplaires - ). Présente en vis à vis les pages crayonnées et noir et blanc. Un dossier de 2 pages en fin d'album présente des documents et cartes.
Résumé: Tirage limité à 599 exemplaires, dont 500 à la vente, présentant les version crayonnées et NB des pages.
Angoulême, juin 1956... Un accident de course qui se révèle être une tentative de meurtre... Et Jacques Gipar qui se trouve dans la foule ! Qui peut bien en vouloir à un modeste garagiste, passionné de course automobile ? Et quel rapport avec des voitures accidentées ? Une enquête en or pour notre journaliste de choc, qui tient sûrement un nouveau scoop pour France Enquêtes !!!
Le titre : Le grand prix d'Angoulême ne sert qu'à attirer le lecteur amateur de courses automobiles.
Il aurait pu s'appeler Roland Garros ou La flèche Wallonne, ça n'aurait pas changé grand'chose.
Une histoire mal ficelée, une histoire invraisemblable où Gipar part sur une enquête suite à un accident, où Gipar résoud une enquête en lieu et place d'une police visiblement nulle.
Une histoire où un protagoniste se met à table devant un journaliste sans qu'il ait été besoin de le malmener à coup de Bottin sur la tête (nous sommes en 1952, rappelez-vous).
Dans cette série où les voitures anciennes sont le maitre mot, on conduit comme des fous, on se vautre dans le décor ...
Là encore, la série traine en longueur sans véritable scénario pourvu que cela fasse iiiiii, vroooooom, roaaaar comme chez Michel Vaillant.
J'avais tant aimé les premiers albums ...