Pour apprécier cet album, il faut, d abord, lire « Le dernier Spartiate ». On retrouve Héraklion, l héritier grec, pris à parti par des descendants des Troyens. Jacques Martin nous rejoue ici la scène plus mythique des batailles antiques celle du « cheval de Troie ». Sur ce coup là, la véracité historique n est pas vraiment au rendez-vous.
voltaire
Le 03/05/2008 à 13:03:04
Confuse, boursouflée, cette aventure pourtant originale n'a guère d'intérêt même si son début est tonitruant. Là encore la pseudo société secrète de près de 1.200 ans prête davantage à sourire qu'autre chose.
Quant aux péripéties connexes, elles sont purement et simplement assomantes.
Le problème de Martin, si problème il y a, est d'être celui d'un homme de grande culture, particulièrement bien sûr sur l'antiquité. Il tient à nous faire partager son savoir et ses passions. Il se focalise donc davantage sur celles-ci que sur l'histoire proprement dite, alors qu'à ses débuts c'était évidemment l'inverse.
Rendez nous un Martin d'abord conteur, l'historien suivra. L'inverse n'est pas vrai.