Info édition : Noté "/ 001" après l'ISBN à la dernière page. En bonus, l'illustration de couverture de l'édition grand format. Histoire se situant entre les tomes 9 & 10.
Résumé: Accueilli dans la demeure de Messire Baudran, Aymar prend un beau jour le risque de s’aventurer sur les terres frontalières du seigneur Guibert. Ces plaines et ces forêts lui appartenaient auparavant… Aymar souhaiterait simplement y entrer discrètement pour parvenir jusqu’à son château. Mais à peine a-t-il pénétré sur l’ancien fief des Bois-Maury qu’il se fait surprendre par les hommes de l’immonde Ulrik. Laissé pour mort au fond d’un fossé, Aymar est finalement sauvé par Gaspard, une vieille connaissance. Alors qu’il se remet doucement de ses blessures, Aymar ne cesse de se poser cette question : comment Ulrik connaissait-il sa position ?
Épisode satellite, se déroulant en marge de la série des Tours de Bois-Maury, L’Homme à la hache permet à Hermann de renouer une ultime fois avec son héros le plus humain et le plus tragique : le chevalier errant Aymar de Bois-Maury. Une histoire complète entre action, intrigues et trahisons qui renoue avec tous les codes de cette prodigieuse saga d’aventures médiévale.
Peut etre eut-il ete une meilleure idee de realiser un one- shot avec un nouvel heros, car ici cette adventure d'Aymar sous forme de HS intitule " l'homme a la hache " a un scenario bien trop pauvre pour s'inserer dans la serie mere, bien trop conventionnel avec un mechant- mechant et un gentil- gentil on est bien loin de la subtilite de la serie mere.
Les dessins des paysages " tel un peintre flamand " sont beaux, oui, mais les femmes mal dessinee comme d'habitude malheureusement avec Hermann.
CLOU
Le 01/11/2021 à 22:20:14
Surprise inattendue ! Ç'est une prequelle à la série semble-t-il, Hermann étant toujours avard d'explications. "Les Tours", puis "Bois-Maury" sont des séries que j'ai adoré. Mais je dois me rendre à l'évidence que cet album, d'une part n'apporte rien. Et d'autre part, souffre du dessin d'Hermann devenu hideux depuis quelques années. Je suis triste de le dire moi qui adulais son trait. Heureusement sa colorisation directe reste encore admirable, mais les traits de ses personnages sont affreux, et c'est surtout navrant pour les femmes qui même lorsqu'elles sont sensées être jolies sont hideuses. Avec des traits bovins qui les font ressembler parfois à des travestis. Et des plus moches. Donc rien que ça gâche le plaisir de ces retrouvailles, surtout lorsqu'on se replonge dans les premiers albums aux coups de crayons enchanteurs.