Info édition : Avec jaquette illustrée, sens de lecture d'origine (droite vers gauche). Contient un ex-libris. Format 150 x 210 mm.
Résumé: « - Une nuit au Vietnam, un mec de mon unité a complètement disjoncté. Il a chopé un M16 et il a tué trois de mes hommes.
- Il était shooté ?
- Je crois, ouais. Ils l'ont emmené dans un hôpital à Saïgon mais on a perdu sa trace. La dernière chose qu'il m'ait dite avant de disparaître, c'est... « Banana Fish ».
- Intéressant mais... si quelqu'un ou une organisation de ce nom existe, on aurait dû en entendre parler depuis le temps, non ? » Ainsi commence Banana Fish...
« Un chef d'oeuvre qu'on se doit de lire... » - Manga-News.
« Aucun tabou n'est écarté dans ce thriller époustouflant qui égratigne l'Amérique : trafic de drogue menant à un complot au plus haut niveau de l'état, prostitution enfantine, meurtres en série... » (Actua BD).
Un classique du manga par la grande Akimi Yoshida, si vous n'y voyez qu'un "polar homosexuel" comme certains c'est vous le problème (alors qu'il n'y a aucune relations amoureuses ou sexuelles explicites) et pas l'histoire, qui est très bien ficelée et devient de plus en plus passionnante au fur et à mesure. Un récit sombre et au découpage cinématographique très agréable à lire. Yoshida pour le dessin s'inspire autant d'Otomo que de sa maître à penser Ryoko Yamagishi, ce qui donne un mélange clinique sans fioritures et diablement efficace. Il était temps que Panini propose une nouvelle version à cette grande série qui a énormément à offrir... pour peu que l'on daigne passer outre ses préjugés d'un autre âge
yannzeman
Le 27/04/2021 à 08:51:39
Polar homosexuel sans intérêt.
J'ai décroché avant même d'atteindre la moitié du 1er tome.
En plus, c'est mal dessiné, les personnages ont tous la même tête, impossible de savoir qui est qui. Et ces moustaches affreuses !
Les décors sont minimalistes, on est TRES loin du niveau d'un "Akira" de Otomo par exemple.
Autant la réédition de "Eden : it's en endless world" est une excellente idée, autant cette réédition de "banana..." ne s'imposait pas...
Je laisse ça à ceux qui aiment. Mais vous êtes prévenus.