Michel Lafon, via son scénario, nous ramène les adorateurs du Dieu Moloch ( L Ile maudite, Le tombeau étrusque). Un homme meurt assassiné dans les bras d’Alix en ayant juste eu le temps de dire: « César, Danger, Baal ». Alix part pour Rome pour prévenir César.
Krompir
Le 29/10/2012 à 02:31:49
Était-il nécessaire de revisiter « Le tombeau étrusque »? Sous couvert d'un hommage à Jacques Martin, voici un pâle palimpseste qui dessert la saga d'Alix. Le dessin des personnages est perfectible, leurs expressions sont figées et peu variées; Les yeux, surtout, avec trop de blanc sous l'iris, évoquent une fatigue perpétuelle qui sied peu au dynamisme du récit.
Un récit, justement, qui se cherche, avec de longues allées et venues entre Rome et Pompéi qui s'étirent sur de sempiternelles planches, alors que des revirement majeurs du scénario sont expédiés en un bref récitatif.
Un coup de glaive dans l'eau. Mettons que le tome deux du diptyque n'est pas attendu avec ferveur.