BD intéressante... on y retrouve des vieilles séries (Jijé, Rob Vel) que je trouve toujours charmantes même si le style du dessin reflete bien celui des années 40... La bd de Chaland est vraiment sublime ! Quel dommage qu'il n'ait pas pu travailler sur la série en parrallèle avec Tome & Janry....
Christophe C.
Le 20/11/2006 à 17:22:42
L'ensemble des histoires sont globalement bonnes. Ma préférée étant celle où le Marsupilami fait son apparition pour une bonne tranche de rigolade. Sinon ça se laisse lire.
Peter
Le 02/10/2005 à 19:31:44
Fantasio et le fantôme: Cette petite fantaisie de Jijé témoigne efficacement de l'intégralité de son oeuvre: Jijé adorait le côté farfelu de Fantasio et l'utilisait pour provoquer des situations loufoques.
La Zorglumobile: Un poster de Franquin. Il est visible que l'auteur n'avait plus aucune considération pour ses anciens personnages, qui sont ici représentés de façon parodique.
Noël dans la brousse: Un morceau supprimé de Spirou chez les Pygmées qui était évidemment destiné à un numéro du journal sortant vers Noël.
Fantasio et les patins téléguidés: Cela faisait bien longtemps que Fantasio n'avait pas exprimé son goût pour les inventions, dont Gaston Lagaffe avait déjà hérité depuis un moment. Le côté chapardeur du Marsupilami achève de transformer une invention géniale en catastrophe. Franquin est donc dans cet épisode égal à lui-même, il fait du "Franquin".
Coeurs d'acier: Dans un style rétro, Chaland tente d'imposer sa vision des aventures de Spirou et Fantasio. Mais face à la concurrence des autres auteurs, cette histoire passera inaperçue.
Vacances à Brocéliande: Fournier mélange son univers de Bizu avec les aventures de Spirou et Fantasio, ce qui donne une petite histoire pleine de "poésie bretonne". Le dénouement, bien qu'étonnant, et cependant banal.
Joyeuses Pâques, Papa !: Fournier dessina cet hommage à Franquin à l'occasion d'un numéro spécial Pâques, bien entendu. Il dessine les personnages tels qu'ils sont dans leur dernière apparition dans les histoires de Franquin. On comprend par ailleurs que Fournier ait imposé Ororéa à la place de Seccotine: il ne savait pas la dessiner (Yicks!)... En bref, un bel hommage à son prédécesseur sans pour autant être transcendant.