Résumé: Des bleus et des tuniques : publication dans Spirou (1749 à 1757) en 1971. Le sergent Chesterfield reçoit du commandant Appeltown la mission de ramener au fort une demi-douzaine de jeunes recrues des montagnes du Dragon. Sur le chemin du retour le sergent doit, en outre, en faire des hommes. Pour cela, il demande aux Pueblos, le peuple de Plume d’argent en paix avec les Tuniques bleues, de simuler une attaque afin d’aguerrir la « bleusaille » au combat. Malheureusement, les Comanches, en guerre avec l’armée américaine et désireux de s’emparer du convoi, vont déjouer tous les plans du sergent ! A malin, malin et demi : Fleur de Cactus s’est échappé de prison. Le sergent Chesterfield, accompagné de Blutch, Tripps, Bryan et une nouvelle recrue doivent le rattraper avant qu’il n’atteigne sa tribu… Les bleus se mettent au vert : En cette veille de Noël, il est de coutume que les Indiens et les Tuniques bleues se querellent pour obtenir l'Arbre-qui-reste-toujours-vert, un énorme sapin. Les Tuniques bleues parviendront à faire fuir les Indiens par la ruse mais ne pourront pas contenir une attaque de loups. Ils seront obligés de se réfugier dans le fameux sapin. Tuniques bleues en liberté : Une permission est accordée aux soldats du fort. Tous se rendent au saloon de Teddy Bumps qui n’aime pas les Indiens. A la vue de Plume d’argent, celui-ci lui refuse l’entrée de son saloon. Grâce à la ruse du sergent Chesterfield, les soldats passeront tout de même leur soirée à boire… à moindre frais ! Printemps dans la prairie : publication dans Spirou n° 1771 en 1972. Afin que le bal organisé par le commandant du fort en l’honneur des vingt ans de sa fille soit une réussite, celui-ci éloigne le sergent Chesterfield, Blutch, Tripps et Bryan. Durant leur patrouille, ils croiseront une horde de bisons en proie à la panique, détruisant tout sur leur passage et se dirigeant vers City Bow. Les soldats parviendront à dévier la trajectoire des bisons de la ville. Ils se redirigeront alors vers le fort, le détruisant intégralement, pour le plus grand malheur de Miss Appeltown.