Info édition : Au 4° plat: 10 Schtroumpfs + La flûte à 6 schtroumpfs + 4 petits albums / 13 Johan et Pirlouit / 6 Benoit Brisefer et 3 Poussy. Pas de code barre.
@ 1977 en page 2
Résumé: Benoit Brisefer semble un petit garçon comme les autres. Il fait bien ses devoirs, aime jouer aux billes et dire bonjour aux gens dans la rue. Seulement voilà, Benoit Brisefer possède quelques chose que les autres petits garçons n'ont pas : il est TERRIBLEMENT fort !
Il court aussi vite qu'une ferrari, saute comme le marsupilami et peut soulever une voiture d'une main. La seule chose qui peut lui oter sa force est un bon gros rhume. Ses pouvoirs lui sont bien utiles pour venir en aide à ses amis, même si ceux-ci ne croient pas en l'énorme force de Benoit.
Justement, une nouvelle compagnie de taxi, les Taxis Rouges, s'est installée en ville et pose de nombreux problèmes au père Dussiflard, le sympathique chauffeur de taxi qui est le meilleur ami de Benoit. Et quand les chauffeurs de la nouvelle compagnie s'acharnent sur le taxi jaune de Mr Dussiflard, Benoit et lui décident d'agir.
aprés johan et pirlouit et les schtroumpfs,peyo nous fais découvrir benoit brisefer,série assez sympathique que moi j'aime bien,merçi peyo
minot
Le 13/04/2015 à 14:36:25
Si elle demeure somme toute sympathique, BENOIT BRISEFER est loin d'être la meilleure série de Peyo, ce que confirme ce premier album. Un héros beaucoup trop lisse, un scénario simplissime et des personnages convenus. Reste le dessin, très classique évidemment, mais agréable pour qui aime le style.
Pour plus de piment, avec de meilleures intrigues et plus de rebondissements, préférez sans hésitation l'excellente série de JOHAN ET PIRLOUIT !
Antoine B.
Le 23/02/2011 à 06:42:57
La toute première aventure de Benoit Brisefer. Une aventure pleine de fraicheur et de vitalité. Ce fut également ma première BD. Je me rappelle avec nostalgie le passage sur l'ile déserte. Une belle et charmante initiation au monde de la BD.
J'ai lu et relu cette BD tout comme Les 12 travaux de Benoit Brisefer. En 1962 le dessin de Peyo était déjà sur et bien assuré, ainsi le trait ne diffèrera guère le long de cette courte série même si la suite ne sera plus vraiment assurée par le maitre. Cela dit la magie opère jusqu'à Lady d'Olphine.
Benoit Brisefer est un sain héros en réponse aux comics américains de l'époque. Ainsi on ne s'étonnera guère que Peyo traite du thème du simulacre robot, concept propre à la SF, dans l'album Madame Adolphine en 1966.
Je recommande chaudement cette série à qui veut faire plaisir à ses enfants. Je ne pense pas que les adultes puissent y trouver leur compte à part si vous l'avez connu étant jeune ou si vous êtes un inconditionnel de l'auteur.
Les albums édités chez Dupuis commencent à se raréfier, notamment pour les exemplaires en bon état.
Peut être que Dupuis songera à une intégrale car nous sommes en pleine période.