Info édition : 33 titres et noté "C005" au 4e plat.
Résumé: Comme tous les fidèles lecteurs d'Alix le savent, Khorsabad est l'endroit où ses aventures ont débuté il y a près de soixante ans. Ce vingt-cinquième tome est en quelque sorte un retour aux sources. Revenu dans l’antique cité de Khorsabad dans l'espoir de retrouver des parents disparus, Alix y retrouve Suréna, le général Parthe qui lui avait rendu la liberté, subjugué par le courage du jeune Romain.Il y rencontre également le roi Orodès, qui lui dévoile deux magnifiques grands vases, l'un en or, l'autre en bronze. Alix doit ramener comme cadeau à César le vase en or, et lui transmettre le message suivant : que l'ambitieux général romain ne cherche jamais à envahir la Mésopotamie, sous peine de voir, une fois ses troupes défaites, le vase en bronze lui servir de sépulture éternelle… Dès lors, le précieux vase va devenir l'objet de toutes les convoitises. Trahisons, attaque de pirates, coups de théâtre : que d’embûches et de rebondissements sur le chemin qui mène à Rome.
Maingoval élabore un scénario plein de nostalgie. En Syrie, Alix se remémore le début de ses aventures. C est à Khorsabad que tout commencé. On est amusé de retrouver Arbacès, l ennemi d Alix. Christophe Simon, maintenant au dessin, remonte le niveau de la série.
voltaire
Le 09/05/2008 à 10:26:13
Bien des années après, Alix est de retour dans le royaume parthe. Du coup, il aimerait retourner à Khorsabad là où règne désormais un vizir fidèle au roi Orodès. Ce vizir s'est fait une fortune en exploitant la naphte présente en abondance dans le région.
En se rendant sur place Alix et Enak vont vite reconnaître leur vieil ennemi Arbacès en la personne du vizir. Leurs ennuis ne font que commencer...
Un début d'album fort plaisant jusqu'à mi-parcours mais qui s'englue ensuite sur des péripéties qui ne sont guère palpitantes. Bien que de qualité, les dessins sont en dessous de ceux de Morales (à mon humble avis).