L'ensemble de la série montre un sens humanitaire et écologique hors du commun dans la BD. Sans appuyer lourdement, avec beaucoup d'humour et même un certain sens du comique, le héros de Christian Godard risque littéralement sa peau tout en maintenant un faux air de cynique blasé. C'est le James Bond en version "homme libre" et sans gadgets. Toute la série est à savourer, mais le numéro cinq est, à mon avis, particulièrement cinglant.