Le 09/02/2025 à 20:57:59
Avec un graphisme toujours impeccable et détaillé, "La lettre froissée" continue de surprendre, les paysages de campagne laissent la place à la ville, aux bâtiments, école et autres infrastructures. Et j'y retrouve la même beauté de forme que les diptyques précédents ("Les seins de café", "La belle coquetière"). Dans les œuvres de Servais, il y a toujours une femme qui bouleverse le récit. Ici, il s'agit de Pauline, une bourrelle des cœurs. Sur fond d'occupation, il est question ici d'enfants, de guerre et de juifs. Même si c'est bien amené, ce cycle est d'un intérêt moindre me concernant pour le scénario qui n’empêche pas d'apprécier l'ambiance générale et l’esthétique qui découle de l’œuvre, d'une grande qualité.Le 23/02/2008 à 16:14:07
40 ans après, on retrouve nos rescapés de la guerre venu en pèlerinage au château qui les a sauvé pendant leur enfance et on découvre le destin tragique de la petite lingère qui se croyait responsable de la chute du maquis.BDGest 2014 - Tous droits réservés