Résumé: Suite à une nième charge ayant mal tournée, le sergent Chesterfield se retrouve gravement blessé à l’infirmerie. Après avoir rêvé différentes versions des actes de bravoures du caporal Blutch, mort en héros pour lui sauver la vie, Chesterfield émerge enfin de son long coma. Face à lui, impassible, le caporal Blutch le fixe. Naturellement, la réalité des faits après la charge sera beaucoup plus proche de la réputation du caporal Blutch. Il n’y a que dans les rêves où les héros se font massacrer sur le champ d’honneur.
Un scenario minimaliste qui tourne en rond....
On s'ennuie presque , les auteurs poussant même le vice jusqu’à reproduire deux fois la même page sous prétexte de répétition de l'histoire!
Heureusement ,il reste la qualité graphique...
Décevant!
Etpatetmoi
Le 25/02/2015 à 15:36:49
L'album en V.O. comporte une erreur en page 41.
Sur la cinquième image, Blutch porte les galons de sergent.
Didier S.
Le 04/05/2003 à 14:20:29
Une grande déception.
On peut aujourd'hui s'interroger sur le rythme de parution (1 album par an) qui laisse probablement trop peu de temps au scénariste Raoul Cauvin de trouver l'inspiration surtout qu'on en est maintenant au 46ème album et qu'il devient donc difficile de trouver de nouvelles idées.
Pourtant l'idée de départ (la mort du caporal Blutch) était intéressante.
Mais le scénario se révèle finalement simpliste, prévisible dans sa conclusion dès les premières pages et donc fort décevant.
Le dénouement est d'ailleurs assez lamentable, certainement pas digne de Raoul Cauvin quand on pense aux joyaux de la série qui, c'est vrai, remonte maintenant à quelques années (La Prison de Robertsonville, Les Cavaliers du Ciel, El Padre, Black Face ...)
Requiem pour un Bleu est un album qui n'apporte rien à une série qui est indéniablement sur la pente déclinante depuis un certain moment...
anny-claude guénard
Le 17/04/2003 à 14:24:54
la mort de blutch!!!! tout de suite on se dit que nos deux sous-off vont nous manquer. mais dès les dix premières pages on devine la fin de l'histoire (surtout quand on connait Blutch et son gout immoéré de la désertion)
finalement l'album semble un peu plat et la répétition de certaines scènes donne le sentiment que les auteurs ont "ramés" pour boucler leur album