J'ai plutôt bien aimé le début de cette histoire qui revisite la légende arthurienne en la situant à la fin de l'Empire Romain d'Occident. Le concept n'est pas nouveau : on mélange histoire et légende.
Le fougueux héros de cette saga médiévale n'est autre que Perceval. On apprendra qu'il doit son nom à une maladresse du fait qu'il a perdu son cheval (perd-cheval). Nous revivons par conséquent les aventures des chevaliers de la table ronde sous un autre angle.
Tous les ingrédients étaient réunis pour faire de cette épopée de sang et de gloire une bonne histoire. Cependant, encore une fois, l'auteur vire dans le fantastique au point de décrédibiliser l'ensemble de ce récit. C'est dommage tout simplement. On a le sentiment que cela aurait pu être meilleur.