Info édition : cartonné pelliculage brillant - cahiers cousus - papier luxe couché 150 g - 2300 ex
Résumé: Ivre de colère, devenue hystérique, Messalina fait assassiner Tullius le doyen du Sénat, qui réclamait l’exil pour elle et la mort pour Silius.
Claudius, devenu grand stratège, reconnu par Rome comme un empereur bienveillant, génial constructeur et excellent administrateur, a surmonté ses faiblesses et délaissé le vin. Après avoir survécu à l’empoisonnement, il ne mourra pas à la bataille où il se couvrira de gloire, et cela désole Messalina. Mais ses légions sont loin de Rome et le coup d’Etat vaut d’être tenté afin de légitimer son fils Britannicus comme seul prétendant au trône.
Afin de reprendre les rênes du pouvoir et de faire oublier cette salope d’Agrippina et son fils Néron l’usurpateur qui ont été placés sous la haute protection du général Pallas à Ostia (port maritime de Rome), la jeune femme rappelle son amant Silius à la tête de la Garde Prétorienne et de la légion consulaire du défunt tribun Maximus, et nombre de ses aristocrates qu’elle a su si bien séduire et débaucher afin de les entraîner vers une prise du Pouvoir. Devant un Sénat désormais fantoche, elle ose même élever Silius au titre d’empereur !
Mais la plèbe, lassée des intrigues de palais, ne suit pas le mouvement, et le Sénat, scandalisé et effrayé par ce Coup d’Etat, oublie les souvenirs lubriques que lui a laissés Messalina pour rappeler d’urgence Claudius à Rome.