On ne peut pas réinventer la roue à chaque fois que l'on monte en calèche. C'est docu/fiction en diable, sur les trace de XIII, Largo Winch, IRS et compagnie. Un ou deux crans en dessous des meilleurs, soit. Mais je suis client de ce genre et Wolinski n'est malheureusement plus parmi nous pour nous pondre des scenarii d’anthologie. Alors quand on a faim, faute de BurgerTruc on se rabat sur du McMachin. Le fait qu'il y ait mieux n'en fait pas une mauvaise histoire pour autant. Ça m'a fait la soirée sans problème. Je dirai même avec un certain enthousiasme, qui ne retombe qu'après coup, une fois que l'on n'est plus dedans et que l'on se penche sur les forces et faiblesses du cycle.