Graphiquement enfin au niveau du scorpion avec un Marini au sommet de son art, un scénario pas forcément très original, mais on se laisse une fois de plus embarquer dans cet épisode d'action à l'état brut, avec un Gipsy qui lui aussi est à l'état brut. Même si pendant les quelques premières pages il semble vouloir se contrôler et faire bonne figure. Le naturel revient bien vite en force et le Gipsy parle alors avec ses points et ses flingues. Et comme d'hab il emballe avec facilité ;)