Résumé: Peter Parker a quinze ans, c’est un élève studieux et un orphelin recueilli par son oncle Ben et sa tante May. Peter Parker est un ringard ou un loser. Une chose est sûre, c’est qu’il est considéré comme un minable par ses « camarades de classe » Flash Thompson et Kong qui ne ratent pas une occasion de le mettre en boîte… Mais voilà que le destin offre à Peter une chance inespérée de prendre sa revanche. Tout commence lors d’un voyage scolaire chez Osborn Industries. Une énorme araignée – sur laquelle est testée une mystérieuse substance baptisée OZ – mord Peter à la main et meurt après lui avoir injecté une dose du produit. Peu après, Peter enchaîne malaise sur malaise sous les yeux de son amie Mary Jane. En théorie, l’Oz aurait dû tuer Peter mais l’adolescent ne l’entend pas de cette oreille ! Certes, quelque chose change en lui, mais il est loin d’être à l’article de la mort. Au contraire, Peter comprend peu à peu qu’il a acquis des aptitudes surhumaines. Il est très rapide, incroyablement agile, plus fort que jamais et il possède même un sixième sens qui l’avertit en cas de danger. Ajoutez à ces talents le pouvoir de marcher sur les murs comme et vous parviendrez à la même conclusion que notre héro : Peter se transforme en homme-araignée et Norman Osborn, l’homme d’affaire sans scrupules, s’intéresse de près à son cas…
Spider-man a baigné toute mon enfance. La trilogie sortie en film fait également partie de mes préférés. Aussi, j'ai voulu remonter aux sources c'est à dire à la bd car il s'agit d'un de mes personnages de comic fétiches. Là encore, il y a le choix entre les différentes licences à l'image de son confrère Batman.
J'ai été attiré tout d'abord par les couvertures magnifiques. Il est dommage que le dessin ne soit pas aussi en relief. Toutefois, c'est pas trop mal avec un véritable dynamisme du trait. Cela donne un look tout à fait moderne avec ces couleurs criardes.
C'est intéressant également de tout reprendre depuis le début de l'histoire. Il y a nécessairement des détails qui changent par rapport au film ou au dessin animé. On se laisse à la limite surprendre. L'essentiel est que ce récit garde l'esprit de l'oeuvre originale.
J'aime beaucoup cette phrase de Stan Lee qui a été reprise à de multiples reprises par la suite et notamment dans cette version : "De grands pouvoirs impliquent de grandes responsabilités". Les grands de ce monde devraient s'en inspirer !