Info édition : Noté "Première édition". Avec jaquette illustrée.
Résumé: En quittant le monde de la pègre pour un métier a priori plus tranquille, road manager d'un girl band, Ken connaît une terrible désillusion. L'agence qui l'emploie n'est en fait qu'une machine à blanchir l'argent sale. Et lorsque les producteurs et des hommes politiques véreux touchent à ses petites protégées, Ken voit rouge. De retour dans son costume de boss, il fait le ménage dans le show-biz coréen
Alors que de nouvelles perspectives de business s'ouvrent à la Sun-Ken Rock Team avec l'essor de la bulle immobilière, un grand danger semble fondre sur l'équipe, qui possède désormais des ennemis très haut placés
le volume s'ouvre sur la fin de la baston contre KG et enchaîne sur une dépucelage de la bande à Ken dans un bordel (ça faisait longtemps que le mangaka n'avait pas eu le loisir de dessiner des filles à poil). On enchaîne sur des histoires de cuisine puis sur l'intro du nouvel arc où la bande va s'engouffrer dans l'immobilier.
Encore un album à oublier. Je ne comprends pas ce qui amène Boichi à se perdre ainsi, loin de son histoire mafieuse ouverte il y a presque six volumes. Les lecteurs aiment SKR pour ses mafieux en costards poseurs, ses bastons dantesque et sa radicalité...
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