Résumé: Accompagnée d'Emilia, Yoko Tsuno se rend en Écosse chez Cécilia, dans un château anciennement hanté, pour résoudre un nouveau mystère : lors de la restauration des caves du château, un catafalque a été trouvé. Celui-ci contenait un automate qui, selon d'anciens manuscrits, ne serait autre que la servante de Lucifer arrivée sur terre sur un animal diabolique ! Pour résoudre ce mystère, Yoko n'a d'autre choix que de descendre sous terre avec l'aide de la Vinéenne Khâny et de réanimer Zarka, la servante de Lucifer, avec qui elle conclura un pacte qui l'amènera à rencontrer celui qu'on appelle «le diable»...
Très bonne qualité graphique comme d'habitude, mais il serait temps que Leloup nous dise si se sont les Vinéens qui ont aidés les Egyptiens à construire les pyramides, étant donnée que leur technologie est à la base de certains mythes religieux... De plus, si il envisage de former un duo durable Yoko-Emilia, il est plus que temps que Vic et Pol deviennent des personnages épisodiques comme Khany afin de donner plus de force à leur intervention dans des histoires construites autour d'eux. Il serait temps que Leloup passe la main pour le scenario.
Hugui
Le 09/01/2011 à 17:35:10
Yoko Tsuno doit faire appel aux Vinéens après avoir découvert un androïde bleu du 13ème siècle dans le sous-sol d'un abbaye en ruine en Écosse chez son ami Cécilia.
On retrouve donc avec plaisir ses amis d'un autre monde qui nous font vivre des aventures surprenantes avec les dragons de nos contes d'enfant.
On ne s'ennuie pas à lire cette histoire mais on n'est pas surpris non plus et il manque peut-être le supplément d'âme qui fait tout le charme de certains albums de la série.
Mais les images restent au top et au total ne dépareille pas la série.
DixSept
Le 30/11/2010 à 21:33:21
La découverte dans une abbaye écossaise, d’un androïde vieux de 8 siècles, amène Yoko Tsuno dans les tréfonds de la planète à la recherche de ce qui pourrait bien être le Lucifer…
Ce 25ème album s’inscrit dans la lignée des précédants avec les (petits) défauts et les (grandes) qualités de la série notamment la précision du graphisme de Roger Leloup.
Si Yoko est intemporelle, le monde a cependant évolué autour d’elle… et ce qui était novateur, il y a quelques années, l’est un petit moins aujourd’hui. Mais l’essentiel n’est pas là !
A lire avec la nostalgie qu’il convient.