Résumé: Les histoires de Luca Privitera se terminent souvent là où elles commencent. C’est un peu comme si elles ne voulaient pas se révéler entièrement, si elles voulaient laisser un indice au lecteur, le pistant vers une suite possible. « Je ne contrôle rien, je suis envahi par le besoin de raconter. Mes histoires prennent souvent racine dans les recoins les plus sombres, dans des grottes, dans les profondeurs des océans, dans l’espace, l’inconscient. Des endroits pas faciles à atteindre... Ceci dit, ces endroits sombres cachent souvent une lumière aveuglante ou une sortie. À la fin, chaque vie, si insignifiante soit elle, recèle plusieurs petites histoires précieuses. »