- Informations sur l'album
- Victor Sackville
- Le magicien de Brooklyn
- 15
- 3.75/5 (16 votes)
- Europe
- Espionnage
- 22870
- Rivière, François
- Borile, Gabrielle
- Carin, Francis
- Carin, Francis
- 05/2000
- de 10 à 15 euros
- Le Lombard
- Format normal
- 2-8036-1495-2
- 46
- 19/01/2003 23:05:44 (maj 15/12/2023 18:49:32)
- Info édition : Noté "Première édition".
- Résumé: Coup de théâtre ! C’est là où il s’y attendait le moins que Victor Sackville se retrouve confronté aux menaces de vengeance de son adversaire le plus dangereux.. New York 1920. Le jeune Harry est fasciné par un magicien qui se produit sous le nom d’Olaf Magnus. Le pouvoir hypnotique de ce Magnus est tel que l’adolescent accepte de supprimer un autre illusionniste, rival - croit-il - de son nouvel ami et protecteur.. Victor Sackville est également dans la grande métropole américaine. Il y a pour mission de traquer un mystérieux gang de trafiquants de drogue. Sur lui aussi, Magnus exerce une étrange fascination. D’autant plus qu’il le soupçonne d’être lié aux trafiquants. Tout à ses amours avec la jeune et belle comédienne Gladys Cooper, le fameux agent britannique arrive pourtant à conjurer cette obsédante suspicion. Olaf Magnus ne va cependant pas tarder à se manifester sous sa véritable identité, celle de l’abominable Monsieur Tadjeff.. Suite ou fin d’un duel acharné ? Victor Sackville parviendra-t-il à parer l’ultime bras d’honneur que lui prépare son plus redoutable ennemi ?
- Les avis
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eric_herthabsc
Le 19/05/2024 à 19:13:17
Dessin 4/5 Scénario 2/5 Total 6/10 Commentaire: intrigue peu captivante par rapport à d’autres tomes Sackville beaucoup plus convaincants. Par ailleurs, pourquoi Sackville va-t-il enquêter à New York sur ce magicien ??? Rien à voir avec de l’espionnage au nom de la Couronne britannique. Beau dessin quand même dont le style me plaît. -
Krompir
Le 03/09/2018 à 16:21:55
Un dessin statique, trop de détails d'arrière-plan qui nuisent à la lisibilité et contrastent furieusement avec les faciès simplistes - un style qui rappelle les Rochester et Caroline Baldwin; On aime ou pas. Le scénario n'a ni queue ni tête, littéralement : on ne comprend pas pourquoi il commence ainsi et il s'achève sur - rien ; avoir lu les albums précédents ne devrait pas être une condition sine qua non d'une BD, qui devrait se tenir debout sur ses valeurs intrinsèques.
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