Le 23/04/2014 à 14:15:52
Un album qui donne envie de tomber amoureux d’une pute d’un bordel de Cao Bang ça n’a pas de prix. Sans en avoir l’air, Victor Levallois, second couteau de troisième zone, nous raconte la fin de l’Indochine comme personne. (Je suppose, j’y étais pas) Des coupes (de champagne), des coupes-coupes, des clopes, des cliques et des claques, ce deuxième tome faisait suite au premier (tome) et précédait le troisième (tome). Dire qu’il y aura un quatrième (tome), mais pas de cinquième (tome) et encore moins de sixième (tome) et encore encore moins de septième (tome)... C'est toujours ça de gagné pour l'étagère Ikea du salon, mais toujours ça de perdu pour nos longues soirée d'hiver. Inventeur de la ligne claire gribouillée, du phylactère rentré et de l’onomatopée sonore, Stanislas (et Rullier) devait envoyer leur (anti) héros sur le mur (de Berlin), sur un tournage de péplum (à Cinecita), dans le Swinging London…Ne retournons pas le couteau dans la plaie(santerie). Pour une fois la plus courte n'était pas la meilleure. A propos de plaisanterie, j'arrête de donner mon (humble) avis, car quand ça par en thèse, il faut savoir (s’) arrêter.BDGest 2014 - Tous droits réservés