Voilà le prototype de l’album des Tuniques bleues que je n’aime pas. On attend désespérément qu’il se passe quelques choses dans cette histoire et on est vite déçu. L’originalité devait venir de la présence de Cosaques dans l’armée nordiste, or les auteurs n’arrivent pas dû tout à exploiter la situation de façon convenable.
On a, donc, une impression de gags répétitifs ; Chesterfield servant d’instructeur de cette équipe de Cosaques, Blutch s’amusant de la situation. Cet album est l’archétype du mauvais côté de la série, c’est-à-dire le manque d‘imagination. On sent que les auteurs sont tenus de sortir un album par an et cela se fait, parfois, au détriment de scénarios solides.
Dans cette histoire, les auteurs s’amusent à partir d’une situation inusitée : la présence de Cosaques chez les Tuniques Bleues. Mais, c’est mince pour faire une bonne histoire…