Résumé: Suite et fin de "mission dernière chance". Inquiétude à l'émirat de Sarrakat en Arabie : Tout contact radio est perdu avec le DC8 français qui évacuait les réfugiés européens de l'émirat, en guerre civile entre les partisans du prince Azraf et les pilotes mercenaires d'un trust qui convoite le monopole des ressources pétrolières du pays. A bord du DC.8 : la femme et le fils d'Azraf dont seule Ulla Lindström, une suédoise, connaît l'identité. Mais cette dernière est à la solde du trust. L'avion est détourné et sert de chantage pour faire plier le Prince Azraf. Quand à sa femme et son fils, Ulla compte en tirer un avantage personnel en trompant à la fois ses commanditaires (qui ignorent leur présence à bord) et le prince. Mais Tanguy et Laverdure sont là pour faire échouer leurs plans, pourvu qu'ils arrivent à conserver leurs mirages, ou du moins, à éviter que les rebelles ne mettent la main dessus en état de vol...
Je possède un exemplaire de cet album avec un dépot légal d'avril 1984 n° 4334.
ISBN 2-205-00672-X
Les couvertures sont identiques à la version originale de 1973.
Bullit
Le 02/08/2008 à 13:17:22
On restait sans nouvelles du DC8 rempli des ressortissants français que nos 2 aviateurs devaient libérer. Entre force rebelle machiavélique et coups de théatre divers, Azraf pourra-t-il conserver son trône et retrouver sa famille, placé en tout anonymat dans le DC8 disparu?
Un très bon album qui va déterminer la suite des aventures de Michel et Ernest, forcés de désobéir à Paris pour protéger leur ami Azraf.
Charlier sait utiliser chaque détail, placé ça ou là dans son scénario pour faire que celui-ci reste passionnant jusqu'au bout. Une réussite.
voltaire
Le 01/05/2008 à 13:17:18
Suite et fin des aventures initiées dans l'album précédent.
Le DC-8 qui transportait les réfugiés européens est détourné dans le camp des rebelles. La femme du roi qui fait partie du convoi risque bien de voir sa véritable identité dévoilée. Auquel cas, c'en est finit d'Azraf comme roi du Sarrakat.
Excellent album d'aventures où Laverdure malgré ses gaffes montre qu'il a de l'intuition puisque c'est lui qui va trouver le nom de l'espion qui renseigne si bien les rebelles.
Pour la petite histoire, Jijé pour dépeindre Azraf s'est inspiré du fameux "petit roi" Hussein de Jordanie.