Info édition : Couverture souple avec rabats. Sens de lecture occidental. Format 150 x 210 mm. Le Studio Charon est crédité pour l'adaptation graphique.
Résumé: Autour du lycée de Jin, les disparitions de femmes se multiplient… Le jeune garçon vit pourtant dans un quartier huppé grâce à la réussite de son père, P.-D.G. d’une grande entreprise. On pourrait croire qu’il a tout pour être heureux, mais l’adolescent souffre de l’absence de sa mère et d’une vie solitaire. Son seul repère est son père : toujours prêt à aider son prochain, il est connu pour ses actions caritatives.
Pourtant, ses airs avenants dissimulent un tueur en série à la cruauté sans limites… C’est lui qui se cache derrière les disparitions ! Et Jin est bien placé pour le savoir, puisqu’il joue depuis des années le rôle d’appât afin d’assurer sa propre survie ! Sa mission ? Attirer les victimes et les assommer à coups de masse avant de les livrer à leur bourreau… Mais quand la prochaine cible désignée est la nouvelle élève de sa classe, la seule à lui avoir jamais porté de l’intérêt, c’est le déclic. Pour la première fois, il décide de se rebeller : qui sortira vivant de cet implacable duel père-fils ?
Hyeon- Su est un jeune homme dont la vie va être bouleversée en un seul tome. Le scénario nous narre une histoire apocalyptique. Du moins, c'est ce que nous comprenons dans la deuxième partie du manga. C'est un véritable manga d'horreur que nous découvrons. Très vite, des monstres hideux font leur apparition et la tension devient palpable. Le personnage de Hyeon- Su semble une amorce à cette histoire. Il est le maillon qui lance l'intrigue et nous fait découvrir les personnages qui vont certainement jalonnés cette série.
Esthétiquement, le lecteur retrouvera tous les codes du manga. J'ai été néanmoins surprise de trouver des illustrations en couleurs, ce qui est rare dans le style du manga.
Sweet Home est donc un premier tome qui ouvre sur une série qui s'annonce palpitante.