Le 12/01/2018 à 12:01:15
Le dessin est excellent mais c'est tout. Réservé aux boutonneux... BOFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFLe 29/12/2016 à 23:32:52
http://dcafeine.blogspot.be/2016/12/stella-tomes-1-2-de-jean-foxer.html Stella est une grosse cochonne aux talents cunilaires indiscutable et à la libido plus qu'exacerbée. Et quoi de mieux , afin de remplir ces envies de nymphomane lubrique que d'aller butiner du nectar directement au distributeur ? D'autant plus qu'elle habite dans une ville ou Sodome et Gomorrhe ferait passer Rocco Siffredi pour un jeune novice. Ni une ni deux , telle une cabri en rûte , la voilà qui descend les escaliers de son appartement pour se retrouver en mode open-bar et prête à se livrer à toutes sortes de débauches (youhouu) Comme elle a gros appétit, notre jeune donzelle portant si fièrement l'éten-dart d'une brasserie belge , va rapidement s'enfiler quelques saucisses, presbytes et moules (de) pas-sages. Rassasiée ? Que nenni! L'appétit persiste, mais comment faire ? Allons directement vérifier si le menu de la taverne du coin est bien achalandée pardi ! ... Et ce , au risque même d'y mettre la main à la pâte, de poculer un peu et de faire le nettoyage des outils, mais là je m'égare! Comme vous ne l'aurez pas compris, ce livre ne fait pas dans la dentelle mais plutôt dans la fessée, le pincement de tétons façons S&M. Alors ne me demandez pas comment et pourquoi Jean Foxer, l'auteur, est passé de confectionneurs de costumes pour l'opéra à grand pope de la bd érotique et soda-maso dans les années 80 .. je n'en sais foutrement rien. Quoiqu'il en soit il ne faut pas avoir le pénis tordu pour o-mettre que cela a été dessiné à une époque ou Youporn, RedTube et MatMaBite n'existaient pas (NDM : le dernier site web, c'est moi qui l'ai inventé n’essayez pas, c'est une blague). A cette époque préhistorique , avant l'Internet, nous simples hommes pré-pubère & cie n'avions que notre imagination , le poignet et ce genre de lecture pour soulager nos pulsions lubriques (NDM : si si toi , qui me lis, je sais que tu l'as déjà fait!). Bref , il faut mettre cela en perspective. Malgré un personnage fort de caractère qui ne s'abandonne jamais complètement à ces désirs, ainsi qu'à un durcissement de la situation au fils des pages (sic!), je n'ai jamais vraiment décollé. L'ambiance est moite et glaciale, la fornication y coule à flot et je vous épargne l'aspect narratif scabreux et terre-à-terre qui tiens sur un post-it ; le tout vous donnera un image un poil floutée et intéressante de l'imaginaire sexuel des années 80' que vous pourrez comparer aisément avec celle d'aujourd'hui. Pour les plus glandu d'entre vous, la technique graphique utilisé est le lavis (cfr photo) et les corps sont tous archétypé à l’extrême ... avec le recul, c'est même limite ennuyant. Inutile évidemment de chercher la psychologie des personnages, on est pas chez Cervantes même s'il y a plein d'hidalgo prêt à sortir leur lances pour une partie de billard. Une lecture difficile qui risque de vous ébranler si vous n'êtes pas partie de la tapette à fesse et autres joyeuseté. Stella, c'est donc une BD entre sévir et sévices, chez l'éditeur Dynamite, et qui fera bander les plus endurants et/ou pervers d'entre-vous (gaffe à la pression sanguine tout de même). Préparez vos kleenex ...Le 29/12/2016 à 23:32:42
http://dcafeine.blogspot.be/2016/12/stella-tomes-1-2-de-jean-foxer.html Stella est une grosse cochonne aux talents cunilaires indiscutable et à la libido plus qu'exacerbée. Et quoi de mieux , afin de remplir ces envies de nymphomane lubrique que d'aller butiner du nectar directement au distributeur ? D'autant plus qu'elle habite dans une ville ou Sodome et Gomorrhe ferait passer Rocco Siffredi pour un jeune novice. Ni une ni deux , telle une cabri en rûte , la voilà qui descend les escaliers de son appartement pour se retrouver en mode open-bar et prête à se livrer à toutes sortes de débauches (youhouu) Comme elle a gros appétit, notre jeune donzelle portant si fièrement l'éten-dart d'une brasserie belge , va rapidement s'enfiler quelques saucisses, presbytes et moules (de) pas-sages. Rassasiée ? Que nenni! L'appétit persiste, mais comment faire ? Allons directement vérifier si le menu de la taverne du coin est bien achalandée pardi ! ... Et ce , au risque même d'y mettre la main à la pâte, de poculer un peu et de faire le nettoyage des outils, mais là je m'égare! Comme vous ne l'aurez pas compris, ce livre ne fait pas dans la dentelle mais plutôt dans la fessée, le pincement de tétons façons S&M. Alors ne me demandez pas comment et pourquoi Jean Foxer, l'auteur, est passé de confectionneurs de costumes pour l'opéra à grand pope de la bd érotique et soda-maso dans les années 80 .. je n'en sais foutrement rien. Quoiqu'il en soit il ne faut pas avoir le pénis tordu pour o-mettre que cela a été dessiné à une époque ou Youporn, RedTube et MatMaBite n'existaient pas (NDM : le dernier site web, c'est moi qui l'ai inventé n’essayez pas, c'est une blague). A cette époque préhistorique , avant l'Internet, nous simples hommes pré-pubère & cie n'avions que notre imagination , le poignet et ce genre de lecture pour soulager nos pulsions lubriques (NDM : si si toi , qui me lis, je sais que tu l'as déjà fait!). Bref , il faut mettre cela en perspective. Malgré un personnage fort de caractère qui ne s'abandonne jamais complètement à ces désirs, ainsi qu'à un durcissement de la situation au fils des pages (sic!), je n'ai jamais vraiment décollé. L'ambiance est moite et glaciale, la fornication y coule à flot et je vous épargne l'aspect narratif scabreux et terre-à-terre qui tiens sur un post-it ; le tout vous donnera un image un poil floutée et intéressante de l'imaginaire sexuel des années 80' que vous pourrez comparer aisément avec celle d'aujourd'hui. Pour les plus glandu d'entre vous, la technique graphique utilisé est le lavis (cfr photo) et les corps sont tous archétypé à l’extrême ... avec le recul, c'est même limite ennuyant. Inutile évidemment de chercher la psychologie des personnages, on est pas chez Cervantes même s'il y a plein d'hidalgo prêt à sortir leur lances pour une partie de billard. Une lecture difficile qui risque de vous ébranler si vous n'êtes pas partie de la tapette à fesse et autres joyeuseté. Stella, c'est donc une BD entre sévir et sévices, chez l'éditeur Dynamite, et qui fera bander les plus endurants et/ou pervers d'entre-vous (gaffe à la pression sanguine tout de même). Préparez vos kleenex ...BDGest 2014 - Tous droits réservés