2 épisodes des X-men par le trio que l’on ne présente plus : Claremont / Byrne / Austin.
« Plus Acéré que la Dent du Serpent ».
Les X-men se rendent d’un vol supersonique en Ecosse sur l’île de Muir où leur amis semblent avoir été attaqués. L’identité de l’agresseur leur sera vite révélée : le mutant X alias Protée, au pouvoir terrifiant. Mais cela ne les empêchera pas de le pourchasser dans « La Créature de Haine ». Traque qui les amènera jusqu’à Edimbourg où Protée après une titanesque bataille prendra Moïra Mc Taggert en otage, mettant les X-men face à un dilemme cornélien : Devront-ils sacrifier leur amie pour sauver le monde ?
1 épisodes de l’Araignée et… Thor ensemble, dans « Ce que les Dieux ont Détruit ». Il s’agit de la suite de l’épisode du Spécial Strange n° 26 et il est écrit par C. Claremont, dessiné par J. Byrne et encré par T. de Zuniga.
Nous retrouvons l’Araignée en fâcheuse posture face au Monolithe Vivant. Il ne fallait pas moins qu’un dieu pour prêter main forte au tisseur de toile et c’est Thor qui s’y colle avec son phrasé si particulier : « Par le sang d’Odin, la présence de ce frêle esquif m’avait échappé ! J’ai involontairement plongé ces nautoniers* dans un embarras mortel ! » - planche 10, vignette 1- ça en jette plus que : « Tiiin, j’avais pas vu l’bateau ! J’ai failli l’couler avec les marins ! ». Un épisode qui reste dans la veine de la 1ère partie, plein d’humour et d’action. On en redemande. Reste les couleurs un peu sombres mais on ne va pas bouter son plaisir pour si peu.
1 épisode de la Chose et… le Chevalier de la Lune, ensemble dans « Au clair de la Lune… » (On croit rêver !). Par S. Grant, J. Graig et P. Marcos.
Les 2 héros ont maille à partir avec un méchant digne des vilains de James Bond : Crossfire qui, pour occuper son temps libre, a fabriqué une super machine à lobotomiser, le disrupteur mental sonique ( Franchement ,y a des super vilains qu’ont vraiment rien à faire de leur week-end). Tout ça pour dire que nous avons là, un épisode très médiocre avec peu de style et pas d’histoire. A moins d’etre fan du dessinateur (ce qui n’est pas mon cas), y a rien à sauver.