Comme dans toutes les bandes dessinées des Simpsons des albums Jungle, on a droit ici à 3 histoires avec notre famille américaine préférée.
Dans la première, ‘Bidon’s Band’, Homer décide de monter un groupe de boys band, pour empocher un maximum d’argent. Dans ce groupe (composé de Bart, Nelson, Ralph, Rod et Roy, un jeune garçon à la casquette rouge), le seul à savoir chanter est ... Ralph, qui assure les chants sur tous les disques. Cette histoire n’est pas trop mal, mais pas la plus drôle qu’il m’ait été donné d elire concernant les Simpsons. L’histoire est trop téléphonée, on s’attend trop à ce qui s’y passe. La dernière case de cette histoire est hilarante, la plus drôle de ce récit.
Dans la seconde histoire, intitulée ‘L’homme qui avait deux femmes’, Homer et sa bande jouent à un jeu de cartes quand Burns, leur patron, s’incruste dans la partie et mise Smithers, son bras droit. Homer, qui remporte le grand prix, se retrouve avec Smithers sur les bras, qui s’occupe de lui comme sa femme, ce qui a tendance à rendre Marge jalouse. Pas de surprises du côté de cette histoire. Tout comme la plupart des histoires en BD des Simpsons, elle n’est pas terrible. Heureusement, on a déjà vu bien pire.
La troisième histoire, ‘.. si Homer Simpson inventait le golf’, est l’histoire la plus courte de cette bande dessinée. Pas besoin d’expliquer de quoi il s’agit, le titre en dit déjà assez sur le sujet qu’aborde ce mini-récit. Cette histoire de 4 pages n’est pas drôle du tout, en ça nous arrange qu’il n’y ait pas plus de pages.
Les Simpsons en BD, ça n’est pas ce qui s’est fait de mieux dans l’univers des Simpsons. Les histoires ne valent pas les épisodes animés, beaucoup plus drôles.